Les premières fissures sont apparues en 1997. Le pont de Gagnac-sur-Garonne est sous surveillance.
« Environ 18 000 véhicules circulent chaque jour sur ce pont, dont de nombreux camions », s’inquiète Michel Simon, maire de la Ville. « Ses câbles ne sont pas apparents, ils ont été coulés dans le béton.
Or, en France, seules 2 entreprises sont en mesure de diagnostiquer l’état de corrosion des câbles qui sont pris dans le béton ».
Cette originalité du pont, le maire de Gagnac-sur-Garonne aurait bien voulu s’en passer.
Tant l’effondrement du viaduc à Gênes rappelle l’exigence de réaliser une maintenance régulière sur chaque ouvrage d’art.
Voici le reportage de France 3 Toulouse avec la participation de Drone Sud Toulouse
Etude et renforcement en 2006